Les concurrents se sont élancés sur la spéciale la plus longue du rallye. L’étape 5 comprenait 568,26 km en secteur sélectif, pour un total global de 820,75km. Entre Astana et Balkhash, le Sodicars Racing a vécu cette journée de façon chaotique.
#132 Boutron / Barbet : 33ème de la spéciale : « Ce fut une longue étape, épuisante avec beaucoup de navigation. Elle était digne d’une étape de Dakar. Nous sommes restés prudents sur un bon rythme sans aucun pépin technique. »
#114 Fouquet / Maldonado : Ils ont dépassé Boutron au km300 puis se sont arrêtés avec un problème sur le radiateur hydraulique.
#170 Martineau / Totain : 45ème de la spéciale : « Bonne journée dans l’ensemble avec un début de spéciale rapide, très roulant, nous avons a atteint une vitesse de 185 km/h presque la vitesse maximale du BV2. Ensuite, partie cassante mais la voiture s’est bien comportée. Dans la multiplicité des pistes, Dominique Totain a eu du mal a retrouvé le cap. Beaucoup de cuvette, beaucoup de boue, beaucoup de bourbiers ont été évités. La voiture est fabuleuse elle passe partout. »
#140 Seguin / Seguin : Un problème d’embrayage ont compliqué leur avancement. L’équipage a terminé la spéciale derrière de MAN de Richard Gonzalez – Roger Darroux.
#316 Ayala / Ayala / Marchal : La triplette vit quotidiennement des aglaères et n’était pas rentré à l’heure de ce bouclage. Leur anecdote : En voulant porter secours au camion Peugeot Sport ensablé, se sont ensablés à leur tour.
#322 Gonzalez / Darroux : Le MAN a joué au Saint-Bernard puisqu’il ramenait le couple Seguin jusqu’au bivouac.