Deuxième du Rallycross de Châteauroux pour sa seule apparition au volant de la 208 RX du DA Racing, Julien Fébreau retrouve la catégorie reine de la discipline lors du Rallycross de Dreux.
Bien se jauger
Après une course dans l’Indre marquée par une deuxième place en juin dernier, Julien Fébreau va reprendre le volant de la 208 RX du DA Racing sur le circuit Philippe Chanoine de Dreux.
Deuxième sur ce même tracé l’an passé, la ‘Voix de la Formule 1’ sur Canal + reconnaissait néanmoins avoir eu quelques difficultés à trouver le bon feeling sur une piste exigeante. Cette année, Julien retrouve une voiture muée de nombreuses évolutions et dispose d’une meilleure expérience en Supercar. Déterminé à jouer les premiers rôles, le pilote de la 208 RX #16 s’attend à une course âprement disputée avec la venue de nombreux pilotes européens de référence. Ce dernier rendez-vous du Championnat de France est le rendez-vous idéal pour juger son niveau de performance face à des pilotes reconnus pour leur sens de l’attaque.
Ce qu’il en pense
Julien Fébreau : « Je suis très heureux de retrouver le Championnat de France de Rallycross avec la 208 RX du DA Racing. J’ai eu l’occasion d’effectuer une séance d’essais il y a une dizaine de jours. Ces roulages ont confirmé que je disposerai d’une voiture performante à Dreux. L’an dernier, je m’étais qualifié en pole position de la finale avant de prendre la deuxième place finale, mais le feeling n’était pas idéal. Les évolutions apportées sur la 208 RX pour 2023 ont été bénéfiques et permettent de disposer d’une voiture adaptée à cette piste.
« Ces avancées, cumulées à mon expérience sur ce tracé sont des atouts majeurs pour arriver confiant sur cette course prisée par de nombreux pilotes. Je sais que le plaisir sera au rendez-vous et quel bonheur de pouvoir se confronter à des pilotes internationaux de premier ordre.
« Cela va être très difficile de les battre, mais cela sera une bonne manière de me situer face à ces pilotes qui ont déjà joué les premiers rôles sur la scène européenne et mondiale. »
Manu Naud,