Le pilote titulaire de la Ligier JS P2 #23 Timothé Buret et le pilote de réserve Simon Gachet ont découvert le Circuit mythique des 24 heures du Mans lors de la matinée de la Journée Test. Comme le prévoit le règlement, ils se devaient d’effectuer un minimum de 10 tours , condition obligatoire pour les pilotes n’ayant jamais participé aux 24 Heures du Mans.
Olivier Panis – Team-Principal : « Je suis satisfait du travail effectué ce matin par les deux rookies de l’équipe. Timothé Buret a bien réussi son baptême du feu sur un circuit tellement impressionnant pour un novice comme lui. Il s’est mis assez rapidement « dans le match » ce qui laisse présager une belle marge de progression pour l’avenir. Quant à Simon Gachet qui n’avait que très peu roulé avec La Ligier JS P2, il a effectué le travail demandé et montré sa capacité à s’adapter à ce monument qu’est le Circuit des 24 heures du Mans. »
Timothé Buret – Pilote Ligier JS P2 : « C’est un circuit que j’ai abordé avec beaucoup de plaisir et compte-tenu de la longueur du circuit on a le temps d’apprécier tant le circuit est long ! Je suis monté dans la voiture avec presque une sensation de « déjà vu » tellement, Renaud Derlot, Olivier Panis et mon ingénieur, m’avaient préparé en amont à mes premiers tours de roues. Avec Paul-Loup Chatin qui a la maîtrise de cet exercice, ils m’ont donné non seulement les informations techniques et sportives mais également m’ont permis d’être dans un état d’esprit positif afin de bien me concentrer à prendre mes repères pendant ce premier run de 14 tours. Avant d’aborder la séance de l’après-midi, je vais m’appliquer à travailler sur les modifications à faire pour optimiser au mieux ma seconde séance de roulage. »
Simon Gachet – Pilote de réserve – Ligier JS P2 : « Pour moi c’est une double découverte, j’ai du apprendre le circuit et la voiture n’ayant fait la semaine passée que 8 petits tours en essais à Monza. J’ai été très impressionné par la rapidité sur ce circuit par rapport à tout ce que j’ai pu connaître avant. J’ai eu un petit peu de mal à me mettre dans le rythme, le temps de prendre mes marques, les points d’accélération… pour finalement commencer à m’acclimater au bout de 5 tours. J’avais enregistré beaucoup d’informations transmises par l’équipe et j’ai tout fait pour tout mettre bout à bout pour ne pas faire d’erreur et rendre la voiture à Fabien qui enchaînait. »
Muriel Belgy,