Etape 1: SS 1 : Coiluna km: 70 – SS 2 Altipiani km 97 – Liaison 116 KM
Le Goldentyre Sardegna Rally Race est parti ce matin… au quart de tour ! L’étape et les deux premières spéciales ne sont pas trop longues, mais peu faciles. Seule la navigation est momentanément remise à plus tard. C’est une importante étape 1 d’échauffement pour prendre la mesure des terrains et des difficultés de la 9ème édition du Goldentyre Sardegna Rally Race.
La première étape du Goldentyre Sardegna Rally Race est agencée selon un nouveau critère: éveiller tout de suite l’attention des concurrents. C’est une étape assez ‘physique’ avec deux spéciales relativement courtes mais ‘méchantes’, parmi les plus difficiles du Rally. Un panorama magnifique sur fond de montagnes de granit avec des paysages atypiques de cette partie de la Sardaigne où on traverse on longe des forêts de pins et de sapins, des coupes feu sur des crêtes de montagne qui se personnalisent de passages étroits entrecoupés de spacieuses ouvertures qui débouclent sur des vues d’ensemble de l’île.
Les spéciales Coiluna et Altipiani sont des ‘classiques’ du Rally de Bike Village et du Mondial des rallyes WRC, mais elles ont été revues et bien corrigées par les traceurs. Les meilleurs pilotes auront du mal à se souvenir d’être déjà sur ses sites.
Le secteur chronométré de Coiluna, spéciale de 70 km, allie des passages typiques du WRC, c’est-à-dire ‘glissants’ et très rapides avec des ‘sections’ très différentes car plus difficile pour le pilotage et en général très fatiguantes. Dans l’ensemble les vitesses sont réduites par des passages très techniques afin de garantir une ample marge de sécurité.
Le point d’Assistance est situé près de Nuraghe di Loelle, un endroit fascinant et très caractéristique. 12 km de liaison et ce sera le départ de la spéciale d’Altipiani. Elles est plus longue, pas moins ardue cependant et cette fois, la navigation sera difficile. Beaucoup de passages inédits, des coupes feu et la ‘célèbre’ piste ‘casse bras’ qui conduit à Mazzinaiu avec environ dix kilomètres de pierre infernales. La dernière section est très agréable en pilotage, mais sur certains endroits la navigation se fait rude. Il faut suivre impérativement le road-book !