Cette année, Tim Coronel et son frère Tom ont fait le choix de supprimer leurs pare-brises sur leurs buggys monoplaces.
Cette année, Tim Coronel et son frère Tom (le pilote de WTCC) ont fait le choix de supprimer leurs pare-brises sur leurs buggys monoplaces.
Une décision qui correspond parfaitement à leur slogan, ‘eat my dust’, mais dont Tom a subi les inconvénients dès la première étape du Dakar. Ralenti, puis totalement arrêté par des problèmes électriques, le pilote néerlandais doit son salut à l’un des camions du Team Boucou, celui de Juan-Manuel Linares et Jordi Ginesta, qui ont à nouveau joué au Saint-Bernard des pistes : « Ces gars-là m’ont sauvé, se réjouit Tom à l’arrivée de la spéciale en leur tombant dans les bras. Avec eux, je viens de faire 220 kilomètres à la ficelle. C’est un peu flippant… mais surtout très long ! La réalité, c’est que je n’abandonne jamais… surtout pas le deuxième jour. »
Le programme de la journée n’était pourtant pas terminé pour le moins expérimenté des deux jumeaux, à qui il était encore justifié de souhaiter bonne chance pour les 250 kilomètres de secteur routier à couvrir dans les mêmes conditions jusqu’au bivouac. Mais le poussiéreux n’avait rien perdu de son humour : « ce n’est pas de chance qu’on a besoin dans la vie, seulement du sexe et de l’argent. »