Julien Febreau à Nogaro et sans tabou !

La voix des Grands Prix de la Formule 1 sur Canal+, Julien Febreau fut un émérite acteur au cours des deux courses de l’Alpine Elf Cup Series à Nogaro comme il le fit en 2023. Journaliste et pilote à ses heures, ce sympathique parisien a répondu à nos questions avec la simplicité et la gentillesse qui le personnalise.

– Quelles sont tes impressions du circuit de Nogaro et sur la compétition, jusqu’à présent ?
« J’adore le Circuit de Nogaro. J’ai un plaisir immense à venir ici chaque année. D’autant plus, que le revêtement a été refait cette année. Bravo à tous les membres de l’équipe d’avoir relevé le défi et d’offrir à tous les pilotes une piste magnifique. C’est un max de plaisir ! »

– Qu’est-ce qui rend l’Alpine Elf Cup Series aux Coupes de Pâques unique par rapport à d’autres compétitions ?
« Le Championnat Alpine Elf Europa Cup est une super catégorie où le niveau est exceptionnel et cela tire tout le monde vers le haut. Parfois, ce n’est pas facile de suivre les meilleurs mais c’est très motivant. La voiture est toujours aussi plaisante à piloter ! Quel que soit son niveau, il y a matière à prendre plaisir. »

– Quel est ton rituel pré-course le plus étrange ou le plus superstitieux ?
« Alors, oui, je suis superstitieux et j’ai un geste superstitieux : avant de monter dans la voiture je tape trois fois sur le toit. C’estma façon de dire à ma voiture : sois avec moi, aide-moi. Je fais le maximum au volant mais j’ai besoin de toi. »

– Si tu devais choisir un super-pouvoir pour améliorer tes compétences de pilotage, lequel choisirais-tu et pourquoi ?
« Si j’avais un super pouvoir, j’aimerais être un grand pilote par le talent pour piloter les voitures à 100% de leur capacité. »

– Si tu pouvais organiser ta propre course de rêve, quel serait le circuit, la voiture et les invités ?
« J’amènerais tout le plateau de Formule 1 à Nogaro et on y ferait une course. Je m’installerai dans la voiture qui partira en dernière position. Je pourrais dire que j’ai été sur une grille de départ avec des pilotes de F1. »

– Quel est le moment le plus fou que tu aies vécu en tant que commentateur de course jusqu’à présent ?
« C’est la victoire de Pierre Gasly à Monza. On attendait la victoire d’un français depuis très longtemps, c’était un moment extraordinaire. Il nous a fait rêver et toute la France a vibré. »

– Quels conseils donnerais-tu aux jeunes pilotes qui aspirent à suivre une carrière dans le sport automobile ?
« Quel que soit le métier, il faut de la passion. Avoir ça dans la tête, dans le corps, manger et vivre du sport auto et beaucoup travailler. Qu’on le veuille ou non, c’est le travail qui paye principalement. »

 

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