Formule E : Les MICHELIN Pilot Spot EV retrouvent les pistes si spéciales de l’aéroport Tempelhof de Berlin

MICHELIN Pilot Sport EV during Diriyah E-Prix 2021 - Diriyah, Saudi Arabia - 24/02/2021 © Jerome Cambier / MICHELIN

– Le championnat se rend en Allemagne pour la 8ème fois consécutive
– Deux trains de pneus par E-Prix : le nombre de MICHELIN Pilot Sport EV ne sera que de huit par voiture et par course
– Confiance et efficience : les pneumatiques Michelin partenaires des pilotes sur la piste la plus abrasive de l’année

Seulement deux semaines après l’E-Prix de Monaco, les 7ème et 8ème manches du championnat 2022 vont se dérouler au cœur de la capitale germanique. Berlin est la seule ville à avoir accueilli la Formule E chaque année depuis son lancement, en 2014. A l’exception de la saison 2, les débats ont toujours eu lieu au même endroit, sur les pistes de l’aéroport historique de Tempelhof.

Comme l’année dernière, les concurrents utiliseront le circuit dans les deux sens : anti-horaire le samedi, et dans celui des aiguilles d’une montre le dimanche. Long de 2,355 km pour 10 virages, le circuit berlinois présente la particularité d’être totalement plat, et quasiment visible en totalité depuis les tribunes.

« Nos MICHELIN Pilot Sport EV atterrissent une nouvelle fois sur les pistes de l’aéroport Tempelhof et leur surface si particulière » déclare Mirko Pirracchio, manager de Michelin en Formule E. « Le sol en béton strié est tout simplement le plus difficile de la saison pour les pneus. Ici, le niveau de rugosité est sans égal. Berlin est aussi le seul endroit où toutes nos générations de pneumatiques ont roulé. Cette année, c’est notre gamme la plus innovante sur le plan technologique, connectée, qui sera la meilleure alliée de nos partenaires. La dotation réduite, de seulement huit pneus par journée complète de courses, ne limitera pas la créativité des ingénieurs. Ils sauront guider leurs pilotes vers la meilleure stratégie pneumatique avec le soutien de nos techniciens. Il leur sera important de pouvoir gérer au mieux les usures, et de mixer gommes neuves et rodées selon les moments de la journée, entre essais libres, qualifications et course. »

Alors qu’au cours des deux dernières saisons les courses de Berlin avaient accueilli les grandes finales du championnat en se déroulant mi-août, elles retrouvent cette année leur périodicité habituelle, avec une météo attendue moins chaude. Mais il y aura également d’autres particularités.

« Même si nous utilisons la même piste que l’année dernière, la configuration du week-end constitue des défis différents » continue Mirko Pirracchio, manager de Michelin en Formule E. « Comme le sol de l’aéroport historique Tempelhof n’accueille pas d’autres courses automobiles, il n’est pas préparé à l’exercice.
« Les passages successifs des voitures, dans un sens puis dans un autre, vont générer une amélioration du temps au tour, alors que les voitures seront en outre autorisées à utiliser une puissance supérieure à celle de l’année dernière. Comme toujours, nous comptons sur la constance et la polyvalence de nos pneus pour permettre aux pilotes de se livrer les plus belles batailles en piste. Ici, les constructeurs allemands présents dans le championnat recevront leurs fans, et auront à cœur de briller en leur offrant un spectacle de haut niveau. Les performances très larges de nos pneus leur permettront alors de s’exprimer en toute confiance. »

Véritable concentré de technologies, le MICHELIN Pilot Sport EV est aussi le premier pneu connecté dans une compétition de niveau mondial. Son capteur, qui envoie en temps réel des informations sur les pressions aux bases de Michelin Motorsport, à la direction de course et à la FIA, est au service de la performance et du respect de la réglementation en vigueur. En dehors d’un contexte de sport automobile, cette technologie est également un élément de confort et de sécurité pour les automobilistes. Le pneu connecté fait en effet partie intégrante des projets ‘Smart Cities’ (villes intelligentes) sur lesquels travaillent aujourd’hui les plus grandes métropoles.

Alessandro Barlozzi,

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