Dakar SS1: Lavieille – Garcin, tout va bien !

Christian Lavieille et Jean-Pierre Garcin dans la 1ère étape © RallyZone

C’est parti pour quinze jours d’aventure à travers le Pérou, la Bolivie et l’Argentine. C’est aussi la délivrance, en quittant Lima, les concurrents du Dakar sont lâchés dans la nature pour 9000 km répartis en 14 étapes.

Après une superbe liaison sablonneuse longeant l’Océan Pacifique suivie d’une spéciale sous la forme d’un sprint de 31 km, la première étape du Dakar représentait la parfaite mise en bouche nécessaire pour aborder les premières grosses difficultés du rallye à venir ces prochains jours.

 

Les concurrents ont ainsi pu se familiariser avec les premières dunes du désert d’Ica, en bordure de Pisco où est produit la célèbre eau-de-vie de vin péruvien, avant d’aborder une belle descente qui a permis aux spécialistes de se mettre en valeur.

Christian Lavieille et Jean-Pierre Garcin sont entrés dans le vif du sujet : le sable ! La ration servie au cours de la spéciale 1 les ont mis en appétit, ils en ont profité aussi pour régler leurs automatismes chacun dans son rôle.

« Le Toyota fonctionne bien » lâche Christian. « Pour la deuxième journée entièrement sable, c’est de bonne augure d’autant que sur la boucle de Pisco, le sable sera assez porteur car, nous partirons de bonne heure. Sans quoi, sur les 31 km de la spéciale 1, nous avons légèrement jardiné – comme beaucoup de monde – mais globalement tout s’est bien passé ! Nous sommes partis avec une pression de pneus basse, peut être un peu trop, mais cela nous a permis aussi, de faire un excellent test. Tout va pour le mieux ! »

ETAPE 2 : La boucle de Pisco
La boucle autour de Pisco comprend 90% de hors piste. Les autos s’élanceront devant les motos et la navigation sera corsée. C’est Nasser Al-Attiyah et Matthieu Baumel qui ouvriront la piste au volant de leur Toyota Hilux.
Les risques d’enlisement seront réduits par la relative fraîcheur matinale, mais rien ne sera simple dans les canyons des 40 premiers kilomètres de spéciale, ni dans les dunes en escalier qui suivent.

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