Maroc Auto: Al-Attiyah et Baumel et de quatre !

Podium auto agité © Alain Rossignol

Vainqueur du Rallye du Maroc pour la 4ème fois consécutivement, Nasser Al-Attiyah et Matthieu Baumel (Toyota Hilux Overdrive) ont été fêté de bien tiste manière par l’organisation. Considérant que cette victoire a été acquise ‘sur tapis vert’, NPO Events n’a pas souhaité les accueillir comme le méritait ce valeureux équipage.

 

Avec tois victoires d’étape contre une à Sébasstien Loeb (Peugeot 3008 DKR) et une pour Nani Roma (Mini) celle de ce jour, la boucle est bouclée. Les nonuples Champion du Monde Loeb et Elena terminent à la deuxième place devant le Mini de Nani Roma et Alex Aro, duo revenu dans le clan de l’équipe allemande, X-Raid.

Serradori, premier amateur
Derrière les vainqueurs et les teams d’usine, les amateurs qui restent le cœur de ce Rallye du Maroc, ont presté au plus haut niveau. Après les 3ème et 4ème chronos réussis dans les étapes 2 et 3 par le Buggy 2WD d’Eugenio Amos et Sébastien Delaunay ce sont, aujourd’hui, Mathieu Serradori et Fabian Lurquin (Buggy SRT LC30 #338) qui signent le 3ème chrono du jour juste derrière Al Attiyah et la Peugeot 3008 DKR de Carlos Sainz ! A l’heure de franchir l’arche d’arrivée et de poser pour la photo avant de répondre aux interviews, la joie de tous les équipages faisait plaisir à voir. Comme celle affichée par le Suisse Rémy Vauthier, ancien pilote de circuit et équipier depuis précisément un an de l’ancien motard Jean Brucy à bord de leur très performant Buggy Optimus du Team MD Rallye Sport.

En catégorie T2, la victoire et le titre mondial sont revenus Yasir Seaidan et Laurent Lichtleuchter (Toyota Land Cruiser #361) intraitables tout au long de cette semaine sur le Rallye du Maroc dans cette catégorie réservée aux véhicules de série.

En catégorie Open, c’est l’Iveco de l’Argentin Federico Villagra qui rafle la mise. Au classement cumulé auto/camions, l’imposant poids lourds devance finalement le Bugga’One de Jean-Antoine Sabatier et le Toyota Land Cruiser Auto Body, de Christian Lavieille, lauréat l’an dernier.

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