A motos, autos, SSV et camions : Red Bull omniprésent en qualité et quantité !

Nasser Al-Attyiah & Mathieu Baumel perform during testing in Dubai, UAE on November 4th, 2021

Chaque année à cette période, une fois le tracé dévoilé, les engagés, les partenaires, les chiffres et les lettres… donnent la parole simple, rêveuse, amicale, prometteuse, ambitieuse, interrogatrice… à tous les futurs acteurs de l’édition.

Super beau dans leur chemise couverte de partenaires avant d’enfiler leur habit de lumière colorée … certains invités de David

Castera lors de présentation de la 44ème édition, ou sur les réseaux où toutes et tous ont quelque chose à déclarer. Les concurrents labellisés Red Bull se sont prononcés aussi avant le départ, le 1er janvier 2022.

Les Red Bull Desert Wings repartiront au Dakar pour tenter d’apprivoiser les sables sauvages de l’Arabie saoudite. Un nouveau parcours, de nouvelles technologies et de nouveaux visages seront au rendez-vous, mais l’esprit d’aventure reste le même.
La parole leur est donnée, leur analyse porte sur leur machine, leur souhait… mais, quand un pilote enfile son casque, c’est pour gagner la spéciale puis… le Dakar !

Stéphane Peterhansel : « J’ai été vraiment surpris par les possibilités de cette voiture (Audi), notamment la réponse en termes de puissance du couple. J’ai dû adapter un peu mon style de pilotage, mais lors des essais, nous avons pu atteindre de bonnes vitesses sur de longues étapes. Je suis impatient de prendre part à ce projet, non seulement pour essayer de gagner avec une nouvelle génération de voitures, mais aussi pour voir ce que l’avenir nous réserve. »

Carlos Sainz : « Je suis très fier d’être impliqué dans ce projet, car c’est un sacré défi ! Notre objectif est clair : essayer de gagner tout de suite. »

Mattias Ekström : « Dès le début de ce projet, j’ai été très emballé. Le concept de la transmission est unique et pétri de technologie. Durant toute ma carrière, j’ai toujours été associé au développement de voitures afin qu’elles aillent plus vite et soient plus efficaces. Toute l’équipe ne tient plus en place à l’idée de participer à ce Dakar. »

Nasser Al-Attiyah : « Nous arrivons sur ce Dakar avec notre nouvelle voiture T1+. Elle a des roues plus grandes et un débattement plus important qu’avant, ce qui va nous aider en terrain accidenté. Ce qui est certain, c’est que cette voiture peut gagner le Dakar un jour. »

Sébastien Loeb : « Cela reste stimulant et un grand défi. Nous savons qu’il n’est pas facile de remporter le Dakar car il s’agit d’une épreuve très longue et très exigeante. Nous sommes cependant en meilleure forme que l’an dernier et notre objectif est d’être compétitif à tous les niveaux. »

Laia Sanz : « Le fait de pouvoir compter sur une voiture fiable me remplit de confiance. Cela va m’aider à effectuer un bon début et à finir le Dakar. Je souhaite apprendre un maximum de choses et je ferai tout mon possible pour obtenir le meilleur résultat. »

Cyril Despres : « Nous ne sommes pas loin de participer au Dakar avec des voitures 100 % à hydrogène. Les progrès en ce sens sont bluffants. J’ai hâte de pouvoir partager cette expérience. Le Dakar est le laboratoire ultime pour cette nouvelle technologie. »

Toby Price : « La moto dispose de nouvelles caractéristiques pour ce Dakar. Elle est un peu plus légère, si bien qu’elle est plus facile à maîtriser dans les parties étroites et techniques, et elle est stable à grande vitesse. Pour ce Dakar, la partie cycle a été renouvelée à environ 80 %. »

Matthias Walkner : « En 2018, j’ai réussi à rassembler toutes les pièces du puzzle et à gagner le Dakar. Cette saison, j’ai à nouveau remporté le championnat du monde et montré que j’étais revenu à mon meilleur niveau. Aujourd’hui, nous avons une équipe qui peut, je l’espère, grimper une fois encore sur la plus haute marche du podium du Dakar. »

Kevin Benavides : « J’ai réalisé mon plus bel exploit sur le Dakar en 2021 lorsque j’ai gagné le rallye. Aujourd’hui, je suis de retour sur une KTM 450 Rally, une moto vraiment extraordinaire. Je suis très à l’aise sur la moto. Le moteur et le châssis sont excellents. Nous avons fait pas mal d’essais et nous sommes prêts à nous battre pour la victoire. »

Sam Sunderland : « C’est assez sympa, ces nouvelles couleurs, c’est rafraîchissant et stimulant. L’objectif est de gagner pour GasGas et d’être le premier pilote de notre ère à s’imposer sur deux motos différentes. Ce serait assez particulier et quelque chose qui me motive énormément. »

Daniel Sanders : « J’ai vécu une très bonne saison. J’ai engrangé beaucoup d’expérience en selle avant mon second Dakar. Au fil des rallyes, je vais de plus en plus vite. J’ai maintenant de grandes ambitions et je vais travailler d’arrache-pied pour qu’elles se concrétisent. »

Danilo Petrucci : « Pour moi, courir le Dakar, c’est vraiment la concrétisation d’un rêve. J’ai toujours voulu y participer depuis que je suis gamin. À l’époque, je regardais des vidéos du Dakar des années 80 et 90. Aujourd’hui, grâce à KTM, ce rêve se réalise. »

Cristina Gutiérrez : « Cette année, avec François Cazalet, nous allons à nouveau surfer ensemble sur les dunes d’Arabie Saoudite avec le team Red Bull Off-Road Junior. »

Seth Quintero : « Mon objectif sur le Dakar est de devenir le plus jeune vainqueur de l’histoire. Nous avons été à deux doigts d’y parvenir l’an dernier, mais malheureusement, il y a eu un petit contretemps. Nous allons remettre ça cette année et j’espère qu’avec mon copilote nous serons de retour plus fort que jamais. »

Guillaume de Mevius : « C’est très spécial pour moi car mon père a participé sept fois au Dakar. Il a été le meilleur pilote belge dans sa catégorie et je voudrais l’imiter. J’aimerais être aussi bon que lui, voire meilleur et gagner peut-être le Dakar un jour. »

Dmitry Sotnikov : « Comme toujours, nous abordons le Dakar avec un plan clair et nous nous y conformerons. Notre team a gagné le Silk Way Rally cette année et cela nous permet de croire qu’une autre victoire est possible en Arabie Saoudite. »

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