Historic Tour au Val de Vienne jour 2: Un trône pour trois

Le cinquième et dernier meeting du Championnat de France Historique des Circuits 2020 a livré son verdict. Invaincus ce week-end sur leurs plateaux respectifs, Frédéric Rouvier, Franck Quagliozzi et Laurent Sabatier sont les nouveaux champions de France !

LES CHIFFRES DU JOUR
6 : Le nombre de pilotes qui ont réussi à remporter ce week-end les deux courses de leur plateau, soit : Frédéric Rouvier en F3 Classic, Christian Vaglio-Giors en Formule Renault Classic, Franck Quagliozzi en Youngtimers GTI Cup, Florian Cabarrou en Roadster Pro Cup, Julien Grenet en Saloon Cars et Laurent Sabatier en GT Classic.
10 : Le nombre de courses disputées ce dimanche.
502 : En millièmes de seconde, le plus petit écart du jour entre un vainqueur et son dauphin (Frédéric Rouvier et Alain Girardet en F3 Classic).

LES TROIS NOUVEAUX CHAMPIONS DE FRANCE
Frédéric Rouvier remporte le Championnat de France Historique des Circuits catégorie Monoplaces/Protos pour la troisième année de suite. Âgé de 42 ans, le Cannois, responsable pédagogique d’Oreca Events dans le ‘civil’, décroche ce nouveau titre au volant d’une March 783 de 1978 du team italien ‘Blue is Blue’ après avoir remporté 9 des 10 courses de F3 Classic organisées dans le cadre du championnat. « C’est génial d’être à nouveau champion de France, d’autant que ce troisième titre est peut-être celui qui aura été le plus difficile à obtenir. »

Déjà couronné en 2018, Franck Quagliozzi remporte le Championnat de France Historique des Circuits catégorie GT/Tourisme pour la deuxième fois de sa carrière. Ce Mâconnais de 40 ans, spécialiste des mécaniques Honda en compétition comme en dehors, disputait cette année sa troisième saison en historique au sein de la Youngtimers GTI Cup. Un plateau sur lequel il est resté invaincu à bord d’une Honda Civic de 1990 préparée par l’officine familiale Honda Quagliozzi Racing. « On savait qu’il nous fallait remporter toutes les courses pour être champion. Je n’y étais pas parvenu l’an passé, on a travaillé dur pour que cela ne se reproduise pas deux fois de suite. »

Contrairement aux deux autres lauréats de l’Historic Tour, Laurent Sabatier (61 ans) coiffe pour la première fois la couronne de champion de France. Basé dans le Vaucluse, ce « Porschiste » de longue date termine vainqueur de la catégorie GT/Tourisme, ex-aequo avec Franck Quagliozzi. Comme ce dernier, aucune des 10 courses de son plateau (le GT Classic, qu’il fréquente depuis 2015) ne lui a échappé. Toutes ces victoires ont été obtenues au volant d’une Porsche 993 GT2 de 1996, exceptionnellement remplacée par une BMW M3 GTR à Nogaro. « Celles d’aujourd’hui n’ont pas été les plus faciles, j’avais une pression énorme en me retrouvant dans cette situation où j’avais le titre à portée de mains. »

L’ACTU DU DIMANCHE
CHAMPIONNAT DE FRANCE MONOPLACES/PROTOS
Trophée Formule Ford Kent / Courses 1 et 2 (communes avec la Formule Ford Zetec)
Le top 5 : Course 1 : 1. Genecand (Van Diemen RF92), 2. Michel (Van Diemen RF90), 3. Barrois (Van Diemen RF91), 4. Deverly (Lola T540E), 5. Thetiot (Reynard 85F).
Course 2 : 1. Horion, 2. Genecand, 3. Beloou, 4. Simon, 5. Faggionato.

En 2 mots : La journée du dimanche débute par la première des deux courses réunissant les Formule Ford Kent et Zetec. Leader des premières en qualification, Gislain Genecand s’élance en tête devant Mathieu Midy et Xavier Michel, mais plusieurs monoplaces en perdition amènent le Safety Car à entrer en piste dès le troisième tour. Peu après, la course est relancée sans Geoffroy Horion ni Marc Faggionato. A mi-course, Mathieu Midy a lui aussi disparu, alors que Gislain Genecand demeure un solide leader avec plus de sept secondes d’avance sur Xavier Michel et Jean-Jacques Deverly. Le pilote suisse se détache définitivement par la suite et coupe la ligne d’arrivée en vainqueur. Derrière Xavier Michel, Didier Barrois subtilise la troisième place à Jean-Jacques Deverly dans le dernier tour.

Dans des conditions plus humides, Gislain Genecand repart au même rythme en course 2, mais sérieusement menacé cette fois par Geoffroy Horion. Au huitième des douze tours, le pilote belge parvient à ses fins et part cueillir une magnifique victoire devant Gislain Genecand, en tête à queue dans le dernier tour, et Nicolas Beloou. Geoffroy Horion termine vainqueur au général devant les Formule Ford Zetec.

Trophée Formule Ford Zetec / Courses 1 et 2 (communes avec la Formule Ford Kent)
Le top 5 : Course 1 : 1. Dousse (Van Diemen RF02Z), 2. Sanjuan (Tatuus RC99), 3. Lebreton (Van Diemen RF00Z).
Course 2 : 1. Sanjuan, 2. Lebreton, 3. Dousse.

En 2 mots : Du côté des quelques versions Zetec au départ de la course 1, Arnaud Dousse déclenche les hostilités devant Augustin Sanjuan, le ‘poleman’, et Maxime Lebreton. Augustin Sanjuan bientôt contraint d’opérer un ‘drive through’ pour cause de départ anticipé, Arnaud Dousse à la voie libre et s’envole vers la victoire, en Zetec comme au général. La fin de course est animée par le retour d’Augustin Sanjuan, qui finit par récupérer la deuxième place à l’approche du damier… avant de la reperdre après l’arrivée pour vitesse excessive lors de son passage dans la Pit lane.

Dans la course de l’après-midi, Arnaud Dousse (qui dispute là sa quatrième course de la journée !) loupe son départ et laisse Maxime Lebreton mener en début de course. Puis c’est au tour d’Augustin Sanjuan de s’emparer du commandement, puis de mener les débats jusqu’à l’arrivée avec plus de six secondes d’avance sur Maxime Lebreton.

Trophée F3 Classic / Course 2 (commune avec la Formule Renault Classic)
Le top 5 : 1. Rouvier (March 783), 2. Girardet (Ralt RT3), 3. Martin (Martini MK39), 4. Vallery-Masson (Ralt RT3), 5. Beltramelli (March 813).

En 2 mots : Pour la seconde course de F3 Classic du week-end, l’avantage de la pole revient à Alain Girardet. C’est toutefois Frédéric Rouvier qui boucle le premier tour en tête, alors qu’une sortie de piste de Gianluigi Candiani, excellent troisième de la course 1, entraine immédiatement une courte apparition du Safety Car. La course à peine relancée, de premières gouttes de pluie entrainent une valse de tête-à-queue. Sur cette piste piégeuse, Alain Girardet parvient à prendre l’avantage sur Frédéric Rouvier au cinquième tour. Deux boucles plus tard, le pilote de la March lui rend la pareille et prend cette fois un avantage décisif avant… de commettre un tête à queue dans son dernier tour ! Reparti à temps, il sauve malgré tout sa première place pour 5/10 de seconde et décroche ainsi un nouveau titre de champion de France. Comme la veille, Eric Martin se hisse sur le podium, alors que Brady Beltramelli, contraint de s’arrêter dans son dernier tour, laisse la quatrième place à Laurent Vallery-Masson.

Trophée Formule Renault Classic / Course 2 (commune avec la F3 Classic)
Le top 5 : 1. Vaglio-Giors (Martini MK51), 2. Mottez (Martini MK51, 3. Faucher (Martini MK65), 4. Renoult (Orion FR90), 5. Domas (Martini MK54).

En 2 mots : Idéalement parti, Bruno Mottez boucle le premier tour en position de leader. Après une courte neutralisation, Christian Vaglio-Giors reprend l’avantage et creuse peu à peu l’écart sur le pilote bourguignon, surpris en tête-à-queue à deux reprises. Solidement installé au commandement sur une piste rendue délicate par la présence d’huile et de portions humides, le pilote suisse ne commet aucune erreur et s’impose, seulement précédé au général par quatre F3. Derrière Bruno Mottez, Alexandre Faucher termine la course à une belle troisième place qu’il aura occupée de bout en bout.

SportProtosCup / Course 2
Le top 5 : 1. Vulliez (Bogani 91 Alfa), 2. De Murard (Merlin Alfa), 3. Dougnac (Epsilon Alfa), 4. Destombes (Peugeot spider 905), 5. Boch (Lucchini P3 BMW).

En 2 mots : Vainqueur de la course 1, Matthieu Châteaux part en tête mais écope aussitôt d’un ‘drive through’ pour départ anticipé. Sa Debora en proie à des soucis mécaniques, il doit en même temps opérer un long arrêt à son stand, laissant le commandement à Josserand De Murard et sa Merlin Alfa. Peu après, Alexandre Dougnac se porte en tête à son tour au volant de l’Epsilon qu’il partage avec son père Francis. Trois boucles plus tard, Dougnac ‘fils’ part en tête-à-queue, laissant ainsi Josserand De Murard reprendre l’avantage devant un Dominique Vulliez pourtant parti bon dernier après avoir fauté dans le tour de formation. Ce dernier finit en trombe aux commandes de sa Bogani et arrache la victoire dans le dernier tour pour 1 »3 !

CHAMPIONNAT DE FRANCE GT/TOURISME
Trophée Saloon Cars / Courses 1 et 2 (communes avec le GT Classic)
Le top 5 : Course 1 : 1. Grenet (Dodge Viper), 2. Lefebvre (Audi Quattro), 3. Fuet (BMW Compact), 4. Samson (Porsche 996), 5. Ronflard (TVR Cerbera).
Course 2 : 1. Grenet, 2. Samson, 3. Desmaele (Porsche 996), 4. Fuet, 5. Lefebvre.

En 2 mots : Crédité de la pole, Julien Grenet s’élance devant Fabrice Lefebvre. A mi-course, la Dodge Viper et l’Audi Quattro sont séparées de 9 », au moment où la course est momentanément stoppée suite à un début d’incendie sur le Renault Spider du malheureux Arnaud Dousse, qui venait d’enchainer les courses de Formule Ford Zetec et de Saloon Cars. La course repartie, l’écart entre les deux premiers demeure stable et Julien Grenet achève logiquement sa course sur une nouvelle victoire. Beaucoup plus disputée, la troisième place revient à la BMW Compact de Patrick Fuet, qui obtient le dernier mot face à la Porsche 996 de Didier Samson, l’étonnante TVR Cerbera de Gilles Ronflard et la Lotus Seven de Vincent Delarche.

Changement de décor pour la course de l’après-midi. Sur une piste désormais détrempée, Julien Grenet se remet à l’ouvrage devant Fabrice Lefebvre, bientôt dépassé par Didier Samson et Michael Desmaele. Après quelques tours neutralisés, le pilote de la Dodge Viper demeure intouchable et file vers une énième victoire en laissant la Porsche 996 de Didier Samson à 24’’4. En ayant pu réparer, Arnaud Dousse place le Renault Spider à la sixième place.

Trophée GT Classic / Courses 1 et 2 (communes avec le Saloon Car)
Le top 5 : Course 1 : 1. Sabatier (Porsche 993 GT2), 2. Morihain (Porsche 996), 3. Mathieu (BMW M3 GTR), 4. Daumas (Porsche 968), 5. Bastia (Porsche 964).
Course 2 : 1. Sabatier, 2. Mathieu, 3. Bastia, 4. Daumas, 5. Rosembly (BMW Z3M).

En 2 mots : Comme on pouvait s’y attendre. Laurent Sabatier (Porsche 993 GT2) se porte immédiatement au commandement, suivi par son équipier Sébastien Mathieu (BMW M3 GTR). A l’approche de la mi-course, Olivier Morihain vient intercaler sa Porsche 996 entre eux, juste avant un arrêt de la course (lire plus haut). Une fois celle-ci relancée, cet ordre reste inchangé et les trois hommes rejoignent l’arrivée groupés en seulement sept secondes.

Comme le matin sur le sec, Laurent Sabatier impose immédiatement sa loi sur le mouillé, tandis qu’Olivier Morihain se retire dès le départ. Nullement inquiété, le pilote de la Porsche 993 GT2 poursuit son cavalier seul devant Sébastien Mathieu et boucle les 14 tours en vainqueur et… champion de France. Avec sa Porsche 964 RS, Jean-Christophe Bastia rejoint les deux hommes sur le podium.

Maxi 1300 Series / Course 2
Le top 5 : 1. Calas (Cooper S), 2. Poirier (CG coupé), 3. Besson (Alpine A110), 4. Gruelles (Mini Marcos), 5. Gandini (Mini Jem).

En 2 mots : Les pilotes de Maxi 1300 Series entament leur seconde course sous la pluie. Au volant de sa Mini, Sébastien Calas prend immédiatement la tête des opérations, suivi de Jean-François Besson et d‘Adrien Harang, tous deux bientôt contraints à effectuer un ‘Drive through’ pour départ anticipé. A mi-course, Sébastien Calas a la situation en mains avec onze secondes d’avance sur le CG de Laurent Poirier et quinze sur un Jean-François Besson déjà revenu dans le match. Quelques tours plus tard, la course prend fin sur un joli duel pour la troisième place entre ce dernier et Tomy Gruelles, l’Alpine parvenant à repousser les assauts de la Mini Marcos jusqu’au bout.

Asavé Racing 65 / Course 2 (Commune avec l’Asavé Racing 75)
Le top 5 : 1. Chambon (Shelby Cobra), 2. Deleplanque (Lotus Elan), 3. M.Beltramelli (Cortina Lotus), 4. J.Beltramelli (TVR Griffith), 5. Guerardelle (MGB).

En 2 mots : La seconde endurance de 45 mn réunissant les plateaux Asavé Racing 65 et 75 démarre sur une piste détrempée. Parti en tête, José Beltramelli est rapidement débordé par Damien Kohler. Malchanceux la veille, le pilote de la Diva GT se montre vite irrésistible dans ces conditions et boucle les quinze premières minutes avec déjà une solide avance sur la TVR 400 Griffith, elle-même suivie de la Lotus Elan d’Eugène Deleplanque. Après la séquence des arrêts aux stands, ce dernier se retrouve brièvement au commandement devant la Shelby Cobra de Nicolas Chambon, tandis que Damien Kohler, trahi par son moteur, doit jeter les armes. La fin de course tourne à l’avantage de Nicolas Chambon, qui s’impose finalement devant Eugène Deleplanque et la Cortina Lotus de Morgan Beltramelli.

Asavé Racing 75 / Course 2 (Commune avec l’Asavé Racing 65)
Le top 5 : 1. Renaut (Ford Escort RS), 2. Fischer (AMS 2000), 3. Valinho/Mathon (Datsun 240Z), 4. Besson/Besson (Alpine A310 V6), 5. Lagache (Porsche 914/6).

En 2 mots : François Derossi, le vainqueur de la course 1, parti en tête-à-queue dès le départ, l’Allemand Roland Fischer boucle les premiers tours en tête au volant de son original proto AMS. Dès le quatrième tour, Jean-Jacques Renaut lui vole la vedette et entame une véritable démonstration à bord de sa Ford Escort RS à moteur BDG. A l’ouverture de la fenêtre des arrêts aux stands, il compte déjà une dizaine de secondes d’avance sur Roland Fischer. L’intéressé perd ensuite le bénéfice de ses efforts en effectuant un arrêt trop bref (2’28 au lieu des 2’30 mini obligatoires) qui lui vaut de se voir infliger un Drive through. Au cap des 35 mn, Roland Fischer reprend ainsi le pouvoir devant la Ford Escort, dont le pilote ne s’avoue pas vaincu pour autant. Pour preuve, dans un ultime effort il arrache la victoire dans le dernier tour ! Excellent, le duo Jean-Charles Valinho/Dominique Mathon hisse sa Datsun 240Z à la troisième place, juste devant l’Alpine A310 V6 des Besson père et fils. Après être remonté dans le top 5, François Derossi s’est retiré à 8 tours de l’arrivée.

Youngtimers GTI Cup / Course 2 (commune avec la Roadster Pro Cup)
Le top 5 : 1.F. Quagliozzi (Honda Civic), 2. Vivas (Citroën AX Coupe), 3. Benjamin (Honda Civic), 4. Mathez (Peugeot 309), 5. M.Quagliozzi (Honda Civic).

En 2 mots : Sur une piste toujours détrempée, la course démarre sur un coup de théâtre. Pour un départ anticipé, Franck Quagliozzi écope d’un Drive through. Après avoir déjà distancé l’AX Coupe de Samuel Vivas sur les trois premiers tours, le Mâconnais se paye le luxe d’effectuer sa pénalité sans même perdre sa première place ! Dès lors, le leader creuse l’écart et s’envole vers un nouveau titre de champion de France. Avec un passif de 42 »6 sur la ligne d’arrivée, Samuel Vivas termine deuxième, laissant à Damien Benjamin le soin de compléter le podium.

Roadster Pro Cup / Course 2 (commune avec la Youngtimers GTI Cup)
Le top 5 : 1.Fl.Cabarrou, 2.Manganaro, 3.Hergault, 4.Fr.Cabarrou, 5.Laborie (tous sur Mazda MX-5).

En 2 mots : Comme en course 1, Florian Cabarrou affirme immédiatement son statut de patron en prenant de vitesse les autres pilotes de Mazda MX-5, emmenés par Steeve Hergault et son propre père Franck. A mi-course, il compte plus d’une dizaine de secondes d’avance, alors que Massimo Manganaro apparait dans le tiercé de tête. En grande forme dans ces conditions d’adhérence précaire, ce dernier se hisse ensuite à la deuxième place. Avec Steeve Hergault troisième, on tient ce qui sera le tiercé final.

Trophée Lotus / Course 2
Le top 5 : 1. Cazalot, 2. Vulliez, 3. Beloou, 4. Delhaye, 5. Koenig (tous sur Lotus Seven).

En 2 mots : Le match revanche du Trophée Lotus s’amorce sur un superbe duel entre Florent Cazalot, leader en début de course, et Dominique Vulliez. A mi-course, ce dernier mène la danse avec 6/10èmes d’avance sur son rival, tandis qu’Anthony Delhaye, vainqueur de la course 1, et Nicolas Beloou sont à peine plus loin. Florent Cazalot récupère ensuite son bien et parvient à se ménager une petite marge de sécurité. Le Toulousain, s’impose finalement avec 2 »2 d’avance sur Dominique Vulliez, Nicolas complétant le podium (son premier en Trophée Lotus) à seulement 4 »1. Pilotée par Claude Rucheton, la première Caterham est pointée à la 14ème place.

LA SUITE
La septième saison de l’Historic Tour en 2021 selon un format inchangé de cinq meetings. Les circuits et dates retenus seront prochainement annoncés.

Jacques Furet,

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