« Au cours de ses reportages, le photographe est toujours à la recherche de la belle lumière, facteur essentiel dans la réalisation d’une image réussie. Mais cette année, les prévisions météorologiques n’étaient guère optimistes pour ces 24 Heures du Mans, avec beaucoup de grisaille annoncée.
« Sur les coups de 19h, je me trouve sur le bord de la piste à proximité du virage d’Indianapolis et le ciel est désespérément gris. J’hésite à rentrer aux stands, inutile de perdre du temps alors que le soleil se cache derrière les nuages.
« Au moment précis où j’allais repartir, mon collègue Florent m’appelle pour me donner quelques informations : “il y a une trouée de ciel bleu où je suis, ça mérite d’attendre un peu