Morocco Desert Challenge SS2: Paroles de pilotes

© DR

Une variante sur la piste traditionnelle du Dakar, la traversée de la plus grande zone militaire du sud Maroc. Un paysage isolé mais magnifique, excepté les points de contrôles militaires, personne ne vit sur ces sites. Des pistes rapides sur un sol dur, un terrain de jeux idéal pour un vrai rallye-raid.

Après avoir parcouru le Lac Iriki, la traversée des dunes de l’erg Chegaga par des pistes sablonneuses et sinueuses, ont permis de rejoindre le magnifique bivouac de l’Erg Lihoudi, connu également sous le nom de ‘La Dune du Juif’.

Etape 2 : 361 km / liaison = 0 km

#347 Yvan Pierre et Véronique Dard (FR) Toyota HDJ80
« Une journée assez variée avec du cassant mais roulant. Ensuite nous avons traversé de grandes plaines de style WRC ou nous avons pu rouler à 140 km/h, puis le lac Iriki en diagonale suivi des dunes jusqu’à Chegega. Donc un tiers, un tiers et un tiers du parcours où nous nous sommes régalés. Le retour habituel s’est opéré par les grandes piste de cailloux. Une spéciale assez complète, c’était génial. »

#503 Elisabete Jacinto (PT) Man TGS
« Cela a été pour moi, une spéciale difficile car nos amortisseurs sont morts. De ce fait, nous avons beaucoup souffert en essayant de rouler vite. Puis, nous avons rencontré deux petits problèmes dans les dunes dont un nous a pris beaucoup de temps. Comme nous n’avons pas de bons beadlockcs un pneu a déjanté. Quelques problèmes de navigation aussi vers l’arrivée, donc pas un bon jour. »

#346 Pascal de Jésus et Enrique Casanova (SPA)
« Après une casse moteur hier, la réparation s’est effectuée dans la nuit à la lueur des lampadaires et sur un trottoir. Nous avons repris la piste ce matin. Franchement une très belle spéciale, juste une erreur dans les derniers 15 km. Une très belle étape qui nous a permis de remonter un peu au classement, une très belle journée. Cela faisait 3 ans que je n’étais pas rentrer dans les dunes, cela fait plaisir. »

#335 Johan Jongen et Philippe Pelgrims (BE) Bowler
« La spéciale a été plus dure que je ne le pensais. Hier c’était très dur, mais aujourd’hui, les pistes étaient tellement vallonnées que nous ne pouvions rouler a grande vitesse. Il fallait faire énormément attention. Quand nous sommes dépassés par les camions, il faut s’arrêter et il nous faut beaucoup de temps pour se relancer. Surtout qu’ils enclenchent leur Sentinel très loin derrière nous en raison de la poussière. C’est quand même un parcours superbe. »

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