Formule E/La polyvalence des pneus MICHELIN Pilot Sport EV : La clé de voute dans la Cité Eternelle

La capitale italienne accueillait pour la troisième fois ce week-end le Championnat du Monde ABB FIA Formula E. C’était également un premier ‘double-header’ pour Rome (deux courses sur deux jours), après les deux manches inaugurales de fin février qui se sont disputées après le coucher du soleil en Arabie Saoudite.

À Rome, les épreuves ont été organisées sur un nouveau circuit plus rapide que le précédent, comportant deux virages de moins (19 au lieu de 21), pour une longueur portée à 3,380 km contre 2,860 km en 2019.

Sur ce tracé urbain, qui a été très apprécié par les pilotes, les deux E-Prix se sont déroulés sous des averses nourries aussi bien pour la manche du samedi, que pour celle de dimanche. Des conditions qui n’ont pas perturbé les MICHELIN Pilot Sport EV, spécialement développés pour ces voitures 100 % électriques, qui ont permis aux pilotes de s’affronter sans aucune retenue grâce à leur parfaite polyvalence. Dotés d’une sculpture de la bande de roulement efficace sur le sec, comme sous la pluie, les MICHELIN Pilot Sport EV représentent depuis leur sortie en 2014 une véritable innovation dans le domaine des pneumatiques pour monoplaces.

Par ailleurs, il est important de noter que depuis le début de cette saison la réglementation pneumatique a évolué dans le sens de la réduction des quantités. Aujourd’hui, les pilotes ont le droit d’utiliser six pneus par voiture (trois pour l’avant et trois pour l’arrière) lors une course simple, et huit par voiture (deux trains) pour les week-ends de deux E-Prix. En comparaison de la saison dernière, cela représente une économie de 25% pour une course simple, et 50% pour un double événement. Un défi que Michelin Motorsport a relevé avec brio dans les rues de Rome.

« Nos pneumatiques spécifiques à la Formula E ont été conçus non seulement pour tenir toute la journée de course, mais aussi pour rouler par tous les temps, que le sol soit sec ou mouillé », indique Jérôme Mondain, manager de Michelin en Formula E. « C’est une situation unique dans un championnat du monde. Les évolutions du règlement, qui divisent par deux le nombre de pneus sur un ‘double-header’, rend la performance encore plus belle. Avec la pluie qui s’est abattue sur Rome ce week-end, nos pneus ont plus que jamais mis en avant leur pertinence. En course, chaque pilote n’a pas eu de question à se poser au niveau de ses pneumatiques. Cette polyvalence, que nous mettons en avant depuis maintenant plus de six saisons, c’est notre signature au cœur d’une compétition aussi relevée et imprévisible. »

Depuis le début du championnat, en septembre 2014, les pneumatiques Michelin ont rencontré un nombre important de situations distinctes, que ce soit en termes de températures, de typologie de sol ou de configuration urbaine. Les pneus Michelin pour la Formula E se sont joués des particularités des circuits urbains, qu’il s’agisse de plaques d’égout, de rails de tramway, ou de peintures de signalisation routière. A Rome, les pilotes ont dû composer avec des grilles d’aération, souvent très glissantes, et d’immenses passages piétons, parfois situés en plein virage. La performance est alors directement liée à la confiance que chaque pilote place en ses pneumatiques !

Le premier des deux E-Prix de Rome a été remporté par Jean-Eric Vergne (DS Techeetah), devant les deux Jaguar Racing de Sam Bird et Mitch Evans, tandis que la victoire de la seconde course revient à Stoffel Vandoorne (Mercedes EQ), devant Alexander Sims (Mahindra Racing) et Pascal Wehrlein (Tag Heuer Porsche Formula E Team).

Alessandro Barlozzi,

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