Dakar: Carlos Sainz et Lucas Cruz, les vainqueurs ont dit…

Carlos Sainz et Lucas Cruz sur le podium à Cordoba

Dans une auto, ils sont deux ! Dans la Peugeot 3008DKR Maxi #303, Carlos Sainz et Lucas Cruz ont donné le meilleur pour remporter la victoire (leur seconde sur le Dakar) pour la dernière apparition de Peugeot en rallye-raid !

L’équipage 100% espagnol, Carlos Sainz et Lucas Cruz sous l’effet de l’émotion se sont livrés avec modération sur la ligne d’arrivée.

Ils se libèreront davantage lorsque, ils se seront séparés et rejoints leur domicile. Pour l’heure, Carlos eut les bonneurs des medias de tout genre, la tendance veut souvent que on en oublie le navigateur. Il fait un boulot important que ce soit en naviguant, que ce soit lorsque survient un pépin, ses valeurs dans l’habitacle sont identiques ! Cet homme de l’ombre – comme tous les navigateurs d’ailleurs – apporte sa pierre à l’édifice… Il se doit de le féliciter de la même manière.

A eux la parole
Carlos Sainz, pilote, vainqueur du Dakar: « Pour moi, ce fut un rallye très dur. C’est probablement le Dakar le plus difficile que j’ai jamais disputé, même en tenant compte de ceux que j’ai disputé en Afrique. Les organisateurs nous ont vraiment préparé un parcours corsé. Il y a eu tellement d’étapes éprouvantes ! Même les deux étapes précédent l’arrivée ont été terribles. Le Pérou a été aussi très compliqué. Bien sûr, c’est gratifiant pour Lucas et moi de gagner une épreuve aussi difficile. Ça l’est aussi pour toute l’équipe Peugeot qui a réalisé un superbe travail tout au long de ce programme. La Peugeot 3008DKR Maxi est probablement la meilleure voiture que j’ai jamais eu à piloter en rallye-raid. Merci à tous ceux qui nous ont soutenu dans ce projet et merci à Peugeot Sport. »

Lucas Cruz, copilote de Carlos Sainz, vainqueur du Dakar: « La patience a fait la différence pour nous. Nous avons pris les décisions dans la tranquillité, le calme. On comptait jusqu’à dix et on prenait la décision! C’était dur de garder notre avance jusqu’au bout, de ne pas faire de bêtise. Il n’y avait pas de sentiment de revanche. On avait déjà gagné en 2010. On prépare chaque course pour la gagner. Chaque course est un nouveau challenge. »

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