
– La belle rencontre entre Armal Le Cleac’h, ambassadeyr Lexus, et l’équipe AKKODIS ASP Lexus
– Lexus est présent dans la course au large grâce à son ambassadeur Armel Le Cléac’h et sur les circuits avec l’équipe Akkodis ASP de Jérôme Policand qui engage deux Lexus RC F GT3 dans le Championnat du Monde d’Endurance (WEC).
– A l’occasion des 24 Heures du Mans et d’une sortie en mer sur le Maxi Banque Populaire XI, les deux équipes ont pu se découvrir un point commun : la quête permanente de l’excellence et de la performance… qui en fait les dignes représentants de Lexus !
Une rencontre née d’une même culture de l’endurance
À travers une initiative originale portée par Lexus France, deux mondes que tout semble opposer se sont rencontrés : celui de la course au large avec Armel Le Cléac’h*, ambassadeur Lexus et celui de l’endurance automobile avec l’équipe Akkodis ASP**. Une double immersion riche de sens et de similitudes, entre haute technologie, gestion de l’effort et quête permanente de performance.
Première étape : plongée au cœur des 24 Heures du Mans
C’est aux 24 Heures du Mans, en juin dernier, que la rencontre a débuté. Armel Le Cléac’h, accompagné de membres de l’équipe Banque Populaire, a découvert l’univers du sport automobile depuis l’intérieur. Accueilli par Jérôme Policand, directeur de l’équipe Akkodis ASP, il a visité les installations de l’équipe engagée avec deux Lexus RC F GT3 en catégorie LMGT3.
Des ateliers composites à la cellule data, en passant par les zones de préparation mécanique, la visite a révélé des similitudes frappantes entre les deux disciplines. Si l’échelle diffère – un trimaran Ultim de 16 tonnes, avec un mat de 38 mètres, une surface de voile qui peut atteindre 760 m2 face à une voiture de course bien plus compacte – la complexité technique, elle, est équivalente. L’attention au détail, la précision des réglages, la recherche de l’excellence et la collecte de données en temps réel s’avèrent être des préoccupations communes aux deux équipes.
Cette immersion se prolonge durant tout le week-end. Armel Le Cléac’h a foulé la grille de départ, réalisé un baptême de piste, observé depuis le stand les ravitaillements des Lexus RC F GT3, vécu la nuit et l’émotion des dernières heures avant l’arrivée. Une expérience qui lui permet de ressentir, en tant que compétiteur, la tension, l’excitation et l’engagement humain que suppose une telle épreuve.
Armel Le Cléac’h : « Dans le sport auto, comme dans la course au large, chaque détail compte »
« Je savais que les 24 Heures du Mans sont un monument de la course automobile, mais je ne m’attendais pas du tout à ça. J’ai découvert l’ambiance et la ferveur incroyables qui y règnent. Ça peut se comparer au village d’une grande course à la voile, comme La Route du Rhum ou le Vendée Globe.
« Quand on rentre dans les coulisses de l’écurie Akkodis ASP, on se rend compte à quel point c’est professionnel, à quel point chaque détail compte. C’est comme avec l’équipe qui m’entoure, il y a d’abord beaucoup de passion puis ensuite beaucoup de travail pour mettre les pilotes ou le skipper dans les meilleures conditions pour la course.
« La partie data est assez récente pour nous, mais finalement assez similaire. Sur la voiture comme sur le bateau, il y a des capteurs partout. De la même façon que les ingénieurs d’Akkodis ASP suivent la voiture depuis les stands, les ingénieurs de l’équipe Banque Populaire suivent les datas du bateau depuis Lorient. La différence c’est que nous on ne rentre pas au stand quand il y a un problème, on doit le régler à bord !
« Finalement, tout est fait dans nos deux sports pour aller chercher la performance, la vitesse… tout en respectant la réglementation. C’est de la haute technologie, on est tous à la limite du cadre, mais on reste dans le cadre. «
Deuxième acte : cap sur Lorient pour une navigation en mer
Quelques jours plus tard, les rôles s’inversent. L’équipe Akkodis ASP se rend en Bretagne, au cœur de la base de Lorient, où est installée l’équipe Banque Populaire. Au programme : visite des ateliers, découverte des technologies embarquées sur le Maxi Banque Populaire XI, et navigation au large.
La délégation découvre alors un univers aussi impressionnant que technique. Dans les anciens bunkers réhabilités en pôle de course au large, les ingénieurs dévoilent les outils de modélisation, les logiciels de simulation et les fameux foils, lames de carbone qui permettent au trimaran de « voler » à près d’un mètre au-dessus de l’eau.
L’expérience prend une autre dimension lorsqu’ils embarquent à bord du Maxi. Long de 32 mètres, large de 23, ce trimaran géant, taillé pour les transatlantiques en solitaire ou en double, impressionne par sa puissance et sa réactivité. Malgré un vent léger au départ, le bateau finit par s’élever, dévoilant ses capacités de vol et ses accélérations fulgurantes. Les invités prennent part aux manœuvres, découvrent la complexité des réglages, et vivent, pour la plupart, une première expérience en mer inoubliable.
Jérôme Policand : « Il y a beaucoup de similitudes entre nos deux sports, notamment au niveau de l’ingénierie. »
« La culture est très semblable entre les deux disciplines. Et notamment au niveau de l’ingénierie, de la conception, des matériaux et des logiciels, il y a beaucoup de similitudes.
« En revanche, sur le bateau, par rapport au circuit, il y a en plus le côté aventure. La notion de risque est très maitrisée sur un circuit alors qu’en mer c’est impressionnant, notamment par le côté gigantesque du bateau. On se demande comment une seule personne arrive à le manœuvrer ! C’est différent d’une voiture sur laquelle tout est préparé à l’avance, le pilote n’a qu’à se concentrer sur son pilotage. Là, Armel doit aussi monter les voiles et s’occuper du bateau en permanence. »
Deux mondes, une même quête de performance
Au fil de ces deux immersions, un constat s’impose : au-delà des différences de décor, les enjeux sont similaires. Que ce soit sur un circuit ou au large, la réussite repose sur une conception technologique de haut niveau, une gestion minutieuse des ressources, une analyse poussée des données, mais également une innovation responsable.
Cette rencontre entre deux disciplines de pointe illustre également une vision commune du sport de haut niveau où la réussite est le résultat d’une quête permanente de l’excellence et de la performance. Des valeurs portées au quotidien par Lexus dans la conception et la fabrication de ses voitures, ainsi que dans les services assurés à ses clients.
Prochaines échéances
Tandis que le Team Akkodis ASP poursuit sa saison WEC avec une victoire déjà acquise à São Paulo, Armel Le Cléac’h s’apprête à prendre le départ de la Transat L’Or du Café le 26 octobre prochain, à bord de son Maxi Banque Populaire XI.
* Armel Le Cléac’h, skipper incontournable de la course au large, triple vainqueur de La Solitaire du Figaro, vainqueur de la Transat Anglaise 2016, du Vendée Globe 2017, de la Transat Jacques Vabre 2023, etc…. et ambassadeur Lexus depuis 2020.
** Jérôme Policand, 13 participations aux 24 Heures du Mans en tant que pilote et fondateur de l’équipe Akkodis ASP qui a remporté 134 victoires depuis sa création en 1999 et engage depuis 2024 deux Lexus RC F dans la catégorie GT3 du WEC, avec une première victoire en juillet dernier aux 6 Heures de São Paulo. Le Lexus RC F GT3 est dérivée de l’emblématique coupé Lexus. Son moteur V8 5,4 litres 32 soupapes développe 530 ch et un couple maxi de 600 Nm, permettant d’atteindre une vitesse de 310 km/h.
Arnaud Couturon,